Thaon-les-Vosges accueillera prochainement l’entreprise ORA AUDIOLIGHT !

L’idée de fonder ORA AUDIOLIGHT est née d’une passion commune pour le métier et d’une volonté de répondre aux besoins du marché local, notamment dans les Vosges et les départements environnants. L’entreprise propose une large gamme de services, allant de la location de matériel (son, éclairage, vidéo, structure scénique) à la conception et à la réalisation de projets techniques.

Dans le cadre d’un projet de développement, ORA AUDIOLIGHT souhaite acquérir un nouveau bâtiment à Thaon. Elle a ainsi sollicité l’accompagnement de la Caisse d’Epargne Grand Est Europe, qui co-financera à hauteur de 50% le bâtiment, d’un montant de 1,5 million d’euros. Ce bâtiment, situé dans une zone d’activité verdoyante, à proximité d’un lac, a profondément séduit l’entreprise pour sa localisation et sa tranquillité.

L’hôtel d’Angleterre refait peau neuve !

Cet hôtel 3 étoiles compte 60 chambres, un restaurant spacieux, un bar convivial, une salle de conférence, une salle de sport et des jardins aménagés. Avec l’ajout d’une piscine chauffée, il attire une clientèle variée, passant des touristes aux professionnels.

Pour redonner vie à cet hôtel, un investissement de 600 000 euros a été nécessaire, dont 256 000 euros ont été financés par la Caisse d’Epargne Grand Est Europe. Ces fonds ont permis de mener à bien ces travaux de rénovation, notamment la rénovation des murs et des infrastructures, tout en veillant à minimiser l’impact sur la clientèle. Aujourd’hui, l’hôtel est opérationnel, réjouissant les clients et le voisinage de le voir continuer à prospérer. Déjà impliquée dans le financement des murs de l’établissement, la Caisse d’Epargne Grand Est Europe a renouvelé sa confiance en soutenant ce projet.

L’escalade, une passion partagée qui prend vie à Saint-Étienne-lès-Remiremont

La première étape a été l’achat d’un ensemble immobilier qui a été scindé afin de créer différents espaces commerciaux, dont l’un dédié à l’escalade. Unique dans les Vosges, Hop’n Bloc est conçu pour rendre l’escalade accessible à tous, que l’on soit novice ou grimpeur expérimenté.

Une équipe complémentaire, une vision partagée
Les quatre associés, Xavier Bauer, Tristan Damien, Armand Bernet et Manon Rindoni, apportent chacun leurs compétences et leur passion. Ensemble, ils ont créé un lieu où l’escalade est accessible à tous, avec des horaires d’ouverture de 10h à 22h, du lundi au dimanche. Ils ont saisi l’opportunité de l’engouement pour l’escalade, renforcé par son admission aux Jeux Olympiques de Tokyo puis Paris en 2024, boostant ainsi un marché déjà en pleine expansion. L’espace inclut une grande zone de bloc, 13 relais de 6 à 9 mètres de haut et un secteur dédié aux petits à partir de 3 ans. Des cours à l’année et des cours ponctuels sont proposés pour tous les âges (enfants, ados et adultes).
En plus des activités sportives, Hop’n Bloc organise des événements sportifs, des concerts ou encore des soirées thématiques.
Plus qu’une salle de sport c’est un véritable lieu de vie avec un bar, un snack, une mezzanine pour se poser sur des canapés, une terrasse extérieure.
Il y a également une salle disponible pour toutes sortes d’activités comme le yoga, les anniversaires et des réunions d’affaires.

Une vision au-delà des attentes et un impact local
Bien au-delà des prévisions financières initiales, le fonctionnement du projet est prometteur. L’objectif est de créer un lieu où chacun peut pratiquer l’escalade, louer du matériel comme des chaussons et s’épanouir dans ce sport exaltant. Grâce à une approche inclusive et à une offre diversifiée, cette équipe de passionnés s’engage à rendre l’escalade accessible à tous, tout en favorisant une communauté dynamique et enthousiaste autour de cette discipline.

Xavier Bauer, co-fondateur de Hop’n Bloc partage son expérience et les différentes étapes qui lui ont permis de concrétiser son rêve.

Trouver une banque pour financer ce genre de projet atypique, ce n’est pas simple. Surtout quand il inclut l’achat d’un bâtiment en plus de la création d’une salle d’escalade.
Ludivine Durand, notre chargée d’affaires à la Caisse d’Epargne nous l’a clairement fait comprendre. Après plusieurs refus, nous avons eu l’idée de couper le projet en deux. Je me souviens avoir bataillé avec mon autre banque à Metz pour qu’ils acceptent de financer l’achat des bâtiments.
Avec Armand, Tristan et Manon, nous avions à cœur de trouver une banque locale pour financer notre projet. Une banque qui comprend et qui finance l’économie locale.
Finalement, retourner voir Ludivine Durand avec un dossier uniquement dédié à la salle d’escalade dans un bâtiment qui s’autofinance est devenu une évidence, mais aussi beaucoup plus réaliste.
Tout au long de son accompagnement, elle ne nous a jamais vendu du rêve, elle nous a prévenus que ce serait long et difficile, mais en même temps sa volonté pour défendre notre projet nous a permis de garder la motivation. Elle a fait un travail incroyable pour défendre le dossier à la BPI.
Lorsqu’elle nous a annoncé la bonne nouvelle, nous avons tous compris que nous avions franchi une étape décisive. Avec Armand et Tristan, les travaux n’ont été qu’une formalité. Enfin presque !
Il a fallu tenir le budget malgré les aléas, surveiller la trésorerie. On a cru que l’on serait assez malin pour faire la jonction avec le remboursement de la TVA, mais Ludivine a dû faire le pompier le temps de quelques semaines ! Elle nous a trouvé la solution rapidement.
Puis est venue l’ouverture de la salle avec un nouveau métier à apprendre et de nouveaux défis à relever.
L’été arrive avec un nouveau fonctionnement qui se met en place pour accueillir nos clients de la meilleure façon possible.
Merci à Ludivine et Merci à la Caisse d’Epargne !

L’été d’Émilien Claude, le biathlète que nous soutenons

L’association Adali accompagne les publics éloignés de l’emploi !

Pour faire acquérir de nouveaux gestes techniques aux salariés en insertion, l’association a décidé de s’orienter vers la conception d’objets en bois (composteurs, mobilier de jardin…) dans une démarche écoresponsable. Pour pouvoir développer cette activité complémentaire, l’association doit se doter de tout l’outillage nécessaire à la fabrication des objets, mais elle doit aussi conforter son effectif insertion. En augmentant le volume de postes en insertion, la structure doit optimiser ses locaux, en remplaçant les casiers actuels trop encombrants et non sécurisés.

Pour les soutenir dans leur dynamisme, le Fonds de dotation de la Caisse d’Epargne Grand Est Europe a accompagné cette association à hauteur de 5000 € dans le but d’acquérir l’outillage, le mobilier professionnel et des formations aux gestes éco-responsables.