Protégez financièrement votre famille avec l’assurance décès

L’assurance vie est une solution d’épargne. Les sommes versées par l’assuré sont investies selon son choix sur différents supports financiers. Ce capital que l’on se constitue reste disponible en cas de besoin⁽⁹⁾. S’il n’est pas débloqué avant (les assureurs parlent de rachat), le capital est versé aux bénéficiaires au moment du décès du titulaire du contrat.

Au contraire, l’assurance décès est un contrat d’assurance pour lequel l’assuré paie des cotisations à l’assureur, qui s’engage en contrepartie à verser un capital prédéfini aux bénéficiaires au moment du décès de l’assuré ou à lui-même en cas de perte totale et irréversible d’autonomie. Comme l’assurance automobile ou habitation, c’est un contrat à fonds perdus, c’est-à-dire que vous êtes couvert pendant la période de cotisation.

Bon à savoir : avec Caisse d’Epargne, le contrat s’applique dès la signature du contrat d’assurance décès, sans délai de carence.

Toutes deux ont pour finalité de soutenir financièrement les proches du défunt. Mais elles se différencient par leur temporalité et leur usage.

Ainsi, l’assurance obsèques ne peut être utilisée par les bénéficiaires que pour financer les obsèques, à hauteur de leurs coûts ; avec un montant de capital garanti limité⁽¹⁾. Sachant que le capital garanti peut être insuffisant pour couvrir la totalité des frais des funérailles.

Tandis que l’assurance décès contribue à protéger financièrement les proches de l’assuré décédé par le versement d’un capital garanti et/ou d’une rente⁽¹⁾. Ce dernier peut, bien sûr, permettre la prise en charge des frais de funérailles de l’assuré si les bénéficiaires le souhaitent.

Oui, avec Caisse d’Epargne, vous pouvez adhérer à des contrats d’assurance décès dont la finalité est différente : SECUR’ Urgence pour le versement en 48 heures (sous conditions) pour les premiers frais, et SECUR’ Famille 2 pour le plus long terme, afin de compenser au mieux les conséquences financières de la perte de revenus.

Vos enfants, mineurs ou majeurs, peuvent bénéficier de votre assurance décès. Vous choisissez qu’ils perçoivent soit un capital, soit une rente éducation jusqu’à leur 26^e anniversaire ou un panachage des deux.

En cas de décès, il suffira à vos enfants majeurs et au représentant de vos enfants mineurs de déclarer votre décès à l’assureur. Celui-ci versera le capital dans les délais prévus, après réception d’un dossier complet⁽¹⁾.

Les bénéficiaires sont librement choisis par l’assuré : enfants, conjoint, partenaire de pacs, parents, amis… Vous pouvez désigner autant de bénéficiaires que vous souhaitez en indiquant la répartition du montant du capital garanti entre eux⁽¹⁾.

Dans la plupart des cas, il n’est pas imposable à l’impôt sur le revenu. Sauf si le capital décès dépasse 152 500 €⁽³⁾.

Vous pouvez désigner autant de bénéficiaires que vous souhaitez en indiquant la répartition du montant du capital garanti entre eux⁽¹⁾.

C’est possible à tout moment sous réserve d’adresser la demande par lettre recommandée au plus tard un mois avant l’échéance anniversaire. Vous pouvez aussi utiliser les formulaires en ligne ou vous rapprocher de votre conseiller, qui reste votre interlocuteur privilégié.

Bon à savoir : pour SECUR’ Famille 2, le changement de garanties (augmentation du capital par tranche de 1 000 €) ou de bénéficiaires est possible à tout moment si aucun bénéficiaire n’a accepté le contrat⁽¹⁾.

SECUR’ Famille 2, dans ses Formules Confort et Optimal, couvre l’infarctus du myocarde, la chirurgie des artères coronaires, l’accident vasculaire cérébral, le cancer, l’hémiplégie, la paraplégie, la tétraplégie, les brûlures. La liste exhaustive est disponible dans les conditions générales sous l’appellation « maladies redoutées ».

Bon à savoir : avec SECUR’ Famille 2, si le client a choisi la Formule Optimal, le montant du capital garanti par l’adhérent ou le montant de la rente éducation est doublé en cas de décès accidentel⁽⁷⁾, comme en cas de perte totale et irréversible d’autonomie.

Dans le cadre de SECUR’ Famille 2, le décès, la PTIA ou la maladie redoutée résultants des événements suivants : le suicide ou tentative de suicide survenant la première année de l’adhésion, certaines activités aériennes, les compétitions ou rallyes de vitesse sur des véhicules à moteur, ou encore les faits de guerres civiles ou étrangères.

La liste exhaustive est disponible dans les conditions générales.