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La finance et la bourse, un « truc pas pour vous » ou « réservé à une élite » ? En 2024, certainement pas ! Et pourtant, les clichés perdurent, réclamant d’être pulvérisés une bonne fois pour toutes. Petit tour d’horizon des idées fausses touchant à la finance et aux investissements qu’il est grand temps de reléguer au passé. Parce qu’il n’y a pas forcément besoin d’attendre ses premiers cheveux blancs pour investir.
Cliché numéro 1 : « C’est trop compliqué »
En 2024, plus besoin d’avoir fait finance à Harvard pour investir : faites-le bien savoir à votre syndrome de l’imposteur. Eh oui, le 21e siècle nous permet aussi d’avoir accès à tout plein d’informations et de contenus en ligne qui vous permettront d’intégrer quelques bases en finance. On trouve même des guides « Se lancer en bourse pour les nuls » sur le net (comme ce dépliant, ici*). Bon, mais si vous vous demandez de façon un peu plus concrète comment commencer à investir comme un pro, sachez que la première étape consiste à demander conseil à votre banquier, ou encore à un courtier en bourse régulé.
L’incompréhension point déjà sur votre visage ? En bref, votre banquier, en tant que conseiller financier (comme le courtier), c’est votre intermédiaire pour investir. Il peut s’agir d’une plateforme en ligne auprès de laquelle vous ouvrez un compte, par exemple. Ensuite, il vous suffit de vous laisser guider et d’acheter les titres qui vous intéressent. En vous renseignant bien sur les différents produits (actions, Indices, Devises, Matières Premières, ETF, Obligations…), vous limiterez les risques. Et si vous galérez à faire vos choix et que l’idée de perdre un centime en bourse vous donne des sueurs froides, vous pouvez toujours opter pour des fonds garantis (où 100% du capital investi vous sera rendu). Et pour pallier toute angoisse, là encore, votre conseiller bancaire pourra être d’un conseil précieux.
Cliché numéro 2 : « C’est réservé à une élite »
Pas besoin non plus d’avoir un compte en banque à huit chiffres pour investir, ni pour « boursicoter ». Si vous avez envie d’avoir la main sur vos actions et de pouvoir dire en soirée « attends deux secondes, je checke comment se porte le CAC vite fait », vous pouvez donc acheter des actions en direct. Pour ce faire, il suffit aussi de passer par votre banque ou par un courtier qui vous proposera d’ouvrir un compte-titres. Certaines plateformes vous permettent même d’ouvrir un compte à partir d’un euro symbolique. Il ne vous restera plus qu’à passer un « ordre de bourse » à votre intermédiaire financier qui se chargera d’acheter ou de vendre les titres pour vous. Et voilà, vous pourrez passer vos journées en mode super busy, à enchaîner les « vends, achète » au téléphone. À noter que des frais de tenue de compte s’appliquent pour les comptes-titres, ainsi que des frais de courtages pour chaque ordre de bourse. Avec quelques centaines d’euros placées en actions, vous n’aurez peut-être pas une place VIP à l’assemblée générale de l’entreprise, mais vous pourrez quand même dire que vous êtes propriétaire d’actions cotées en bourse (parfait pour se la péter en afterwork avec vos potes startuppers — ceux dont vous comprenez rarement les conversations).
Cliché numéro 4 : « Je n’ai pas le temps »
Entre le taf, les études, les potes, vos hobbies et votre vie amoureuse, vous menez déjà la fast life(1). Quand on vous parle de « revenus passifs », vous vous dites que passer des heures à surveiller la courbe des actions de telle entreprise, c’est déjà trop actif pour vous. Bon, mais pas forcément besoin de passer des heures devant cinq écrans d’ordinateurs, tous criblés de graphiques évoquant les sommets alpins pour bien placer son argent. En ouvrant un PEA, par exemple, vous n’aurez plus à vous occuper de rien : la banque s’occupera d’investir à votre place. De même, en plaçant votre argent sur un compte à terme, vous n’avez qu’à vous soucier de l’ouverture du compte et du versement de la somme de départ.
Cliché numéro 5 : « C’est contre mes valeurs »
Vous n’avez pas forcément envie que votre argent finisse dans la poche de n’importe qui, et on vous comprend. Heureusement, le monde change, et avec lui, nos façons d’investir. Ces dernières années, on a donc pu voir apparaître de nouveaux acteurs intégrant une démarche orientée développement durable et finance éthique. Ainsi, vous pouvez aussi opter pour des « investissements responsables », c’est-à-dire de financer des entreprises en accord avec vos valeurs écologiques, sociales ou solidaires, sélectionnées selon des critères RSE tangibles. Et si vous préférez voir votre argent financer l’épicier d’à côté plutôt que la multinationale responsable de la déforestation de l’Amazonie, vous pouvez aussi placer votre argent sur un compte PEA dédié au financement des PME*. C’est le fromager du quartier (celui qui vous rajoute toujours un petit bout de tomme) qui va être content !
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*Coût de la connexion Internet selon votre opérateur.
(1) fast life = grande vie
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