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Si les mesures à destination des propriétaires occupants, locataires ou copropriétés sont plutôt incitatives, les propriétaires bailleurs sont eux contraints de respecter certaines obligations légales. En contrepartie, ils bénéficient d’aides spécifiques pour procéder à l’amélioration de la performance énergétique des logements qu’ils proposent à la location.
Les restrictions vont ensuite se faire de plus en plus contraignantes
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1er janvier 2025
Interdiction de location des logements notés G (consommation supérieure à 420 kWh/m2)
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1er janvier 2028
Interdiction de location des logements notés F (consommation supérieure à 330 kWh/m2)
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1er janvier 2034
Interdiction de location des logements notés E (consommation supérieure à 250 kWh/m2)
Parallèlement, d’autres mesures légales issues de la loi Climat sont déjà en place pour inciter les propriétaires bailleurs à procéder à des travaux :
- depuis août 2022, le loyer d’un bien classé F ou G ne peut plus être augmenté ;
- depuis le 1er avril 2023, obligation est faite au propriétaire de réaliser un audit énergétique avant la vente d’une monopropriété quand les logements sont classés F ou G (obligation qui s’étendra progressivement aux logement notés E et D).
Et si je ne tiens pas compte de la loi ?
Louer son bien sans prendre en compte ces obligations n’est pas sans risques. Le locataire peut en effet saisir le juge civil pour engager une procédure et obtenir :
- l’obligation d’exécuter des travaux ;
- la baisse du loyer ou sa suspension jusqu’à la réalisation de travaux ;
- la suspension de la durée du bail.
Les aides disponibles
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