Une assurance vie pour mon nouveau-né, n’est-ce pas un peu tôt ?
L’assurance vie permet de préparer financièrement les projets dans une optique de long terme. L’objectif est de constituer un capital à son enfant afin de lui permettre de démarrer plus facilement dans la vie : études, apport pour son premier studio, voyages…
Autant s’y prendre dès le plus jeune âge !
Pourquoi choisir l’assurance vie ?
Elle offre de la souplesse. Il est possible d’effectuer des versements ponctuels ou d’opter pour des versements réguliers que vous pouvez suspendre, reprendre ou modifier à tout moment. Les minimums de versement sont par ailleurs accessibles à tous les budgets.
De plus, avec l’assurance vie, il n’y a pas de plafond et elle donne accès à une grande diversité de supports d’investissement en contrepartie d'une prise de risque en capital.
Le tout associé à une fiscalité spécifique(1) et en gardant la main sur les modalités de mise à disposition du capital (par exemple l’âge auquel l’enfant disposera de son capital).
Concrètement, comment ça se passe ?
L’adhésion au contrat d’assurance vie multisupport Millevie Initiale se fera au nom de l'enfant qui pourra bénéficier du capital à sa majorité ou à l'âge que vous aurez fixé (entre 18 et 25 ans)(2).
Quelle différence entre adhérer à un contrat au nom de mon enfant ou le désigner bénéficiaire de mon assurance vie ?
L’adhésion à un contrat d’assurance vie au nom de votre enfant ou de votre petit-enfant permet une transmission de votre vivant. Il pourra ainsi bénéficier du capital plus tôt que s’il touchait le capital d’un contrat d’assurance vie dont il serait le bénéficiaire.
Selon votre lien de parenté avec l'enfant, il est possible de donner une certaine somme d’argent en franchise de droits de mutation (ex. jusqu’à 100 000 par parent ou jusqu’à 31865€ par grand parent, pour chaque enfant / petit-enfant tous les 15 ans sans droits à payer)(3).
Est-ce que le contrat de mon enfant sera soumis à l’impôt ?
C’est le cadre fiscal spécifique de l’assurance vie qui s’appliquera sur le contrat de votre enfant. Ce n’est donc qu’en cas de rachat (partiel ou total) que l’imposition intervient.
Et tout dépendra de l’âge du contrat au moment de la sortie. Après 8 ans, votre enfant bénéficiera d’un abattement sur les produits générés par le capital et d’une fiscalité très avantageuse. Seuls les gains seront soumis à imposition.
Et en termes de performances ?
Une adhésion à un contrat d'assurance vie au nom de son enfant dès son plus jeune âge, c’est penser sur le long terme. Elle permet en effet d’investir sur des placements diversifiés avec un horizon de placement long.
Les versements peuvent être répartis entre le support en euros, et des supports en unités de comptes qui présentent un potentiel de rendement plus élevé sur les moyens et long terme en contrepartie d’un risque de perte en capital lié aux fluctuations des marchés financiers.