Partenaire historique des associations et des acteurs de l’économie sociale et solidaire, la Caisse d’Epargne vous accompagne dans votre quotidien et vos projets : gestion des comptes et des flux, encaissement de vos cotisations et dons, financement de vos projets, placements et assurances.
Caisse d’Epargne accompagne les dirigeants de PME, ETI et start-up dans le développement de leur entreprise : gestion des comptes et des flux, financement des besoins de trésorerie et investissements, placements, assurances et montages d’opérations structurantes.
Caisse d'Epargne soutient les acteurs du secteur public, du logement social et des entreprises publiques locales en mettant à votre disposition un réseau de conseillers dédiés.
Acteur majeur du financement des professionnels de l'immobilier, la Caisse d'Epargne vous accompagne dans vos projets de promotion, rénovation et lotissement.
On compte des dizaines de régimes de retraite en France, avec leur lot de règles variables. Tout y est régulièrement modifié. Bien difficile de s’y retrouver, donc.
Moins de cotisants par retraité
Dans le système français, les cotisations des actifs financent directement les pensions des retraités. Avec le vieillissement de la population, c’est source de difficultés. On comptait 4 cotisants pour 1 retraité en 1950, 2 en 2000, et seulement 1,7 aujourd’hui. D’où les difficultés de financement.
Des comptes dans le rouge
Des milliards d’euros ont manqué, manquent et manqueront à l’appel pour financer le système. Les leviers utilisés pour équilibrer les comptes sont, au fil des réformes, l’allongement de la durée d’activité, le recul de l’âge de la retraite, la hausse des cotisations. Ce n’est sans doute pas fini.
Une retraite insuffisante
Lorsque vous recevrez votre première pension de retraite, vous pourrez constater la différence – plus ou moins importante – avec votre dernier revenu d’activité (salaire, par exemple). Ce rapport pension de retraite/dernier revenu d’activité, que l’on appelle taux de remplacement, se situe autour de 40 à 60 % pour une carrière de cadre, de 60 à 75 % pour un salarié de statut intermédiaire. D’où l’importance de compléter ses revenus.
Les solutions à mettre en place
Quel que soit votre âge, oubliez les problèmes du système pour vous intéresser à votre situation personnelle.
Les objectifs ? Optimiser vos droits à retraite, vous constituer un complément de revenus individuels, mais aussi bénéficier d’une fiscalité favorable.
Une stratégie en trois temps :
Passez votre carrière à la loupe
Combien de trimestres avez-vous cotisé ? Combien de points détenez-vous dans les régimes complémentaires ?
Ces infos sont nécessaires pour savoir où vous en êtes sur le terrain de la retraite. Pour les obtenir, créez un compte sur info-retraite.fr ; vous y obtiendrez un relevé de situation à jour. Passez-le au crible, il peut être incomplet.
Gare aux pièges ! Exemple : saviez-vous que dans le privé, un trimestre est validé en fonction du salaire cotisé et non de la durée de travail ?
Analysez les leviers du système
Certains dispositifs peuvent vous permettre d’améliorer votre future retraite ou de partir plus tôt.
Citons la possibilité de racheter des trimestres pour des années d’études supérieures ou incomplètes, de cumuler emploi et retraite, de prendre une retraite progressive, de travailler plus longtemps pour majorer sa pension. Autant de leviers dont l’intérêt dépendra de votre situation (âge, statut, etc.).
Épargnez à bon escient
En parallèle, il est nécessaire de vous constituer un capital financier pour votre vie de senior. Et ce sans tarder, pour minimiser l’effort d’épargne nécessaire.
Il faut impérativement se concentrer sur trois placements adaptés au long terme, que sont :
l’assurance vie,
l’investissement immobilier
et le plan d’épargne retraite individuel ou d’entreprise.
L’important est d’opter pour un produit adapté à votre profil d’épargnant et à votre horizon de placement.