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Quel dirigeant êtes-vous ?
Un dirigeant se définit comme la personne qui détient le pouvoir de décider au sein d’une organisation ou d’une entreprise. Les représentants légaux de la société (gérants, membres du conseil d’administration, direction générale, etc.) sont donc inclus dans cette catégorie, ce qui élargit considérablement le champ des personnes concernées. Pour autant, la couverture retraite n’est pas la même pour tous ! Le régime de base obligatoire, tout comme le régime complémentaire auxquels ils cotisent, sont intrinsèquement liés à leur statut. On distingue deux types de retraite découlant des statuts des dirigeants : la retraite du dirigeant salarié (ou assimilé-salarié) et la retraite du dirigeant travailleur non salarié (TNS).
Sans conteste, il est nécessaire de connaître les implications en matière de retraite de son statut de dirigeant. Pour autant, il ne faut pas en faire une obsession. Pourquoi ? Un, parce que rien n’empêche de modifier le statut juridique de son entreprise dans le temps. Deux, ce n’est pas la question clé aux dires des experts indépendants de la retraite. Pour un dirigeant, le plus important sera de s’interroger sur ses souhaits en matière de retraite, de consolider les droits acquis pour ensuite prendre les bonnes dispositions quant au statut de salarié ou non du dirigeant.
Micro-entrepreneurs : quid de la retraite ?
Anciennement dénommés auto-entrepreneurs, les micro-entrepreneurs doivent déclarer un chiffre d’affaires et payer des cotisations pour se voir ouvrir des droits à retraite (régime de base et régime complémentaire). Ensuite, tout va dépendre de l’activité. Le micro-entrepreneur acquiert des droits auprès de la Sécurité sociale des indépendants s’il est artisan, commerçant ou profession libérale non réglementée. Mais s’il exerce une profession libérale réglementée, c’est auprès de la Caisse interprofessionnelle de prévoyance et d’assurance vieillesse des professions libérales (CIPAV) qu’il va cotiser. Si le micro-entrepreneur a par ailleurs une activité principale salariée, cela n’a pas d’incidence sur ses droits à retraite, sachant que 4 trimestres au plus peuvent être acquis par an.
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