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Santé du dirigeant : un capital à entretenir
La santé du dirigeant est le premier capital de l’entreprise : prévenez, agissez et protégez votre avenir professionnel.
Alors que 82 %* des dirigeants déclarent souffrir d’au moins un trouble physique ou psychologique, un tiers d’entre eux a renoncé à consulter un médecin durant l’année écoulée… Cherchez l’erreur ! Découvrez tous nos conseils pour anticiper les risques et vous protéger.
Prévenir pour mieux diriger : le défi de la santé
« Je n’ai pas le temps d’être malade ! »
Premier capital immatériel de l’entreprise, la santé du dirigeant doit devenir une priorité. Rappelons qu’en cas de décès ou de PTIA (perte totale et irréversible d’autonomie), il existe un risque élevé de baisse de chiffre d’affaires, de départ de clients, voire de fermeture de l’entreprise, notamment pour les PME et ETI.
Bien qu’ils soient, aujourd’hui, plus sensibilisés à la question, nombre de patrons ont besoin de piqûres de rappel pour éviter les pièges d’une vie professionnelle dévorante, et ainsi préserver leur capital santé, donc la santé de leur capital !
Pression, surcharge et risques : comprendre les enjeux
Les pièges, on les connaît, ils peuvent affecter aussi bien la santé
physique que mentale, dont on sait, désormais, qu’elles sont liées.
Pression des résultats, de l’agenda, hyper-responsabilité et surcharge mentale peuvent engendrer troubles musculosquelettiques, cardiovasculaires, digestifs, stress chronique, addictions de compensation (un dirigeant sur quatre adopte un comportement à risque : alcool, drogue, tabac, anxiolytiques)… La liste est longue, mais, heureusement, celle des
solutions et des ressources l’est tout autant.
Agir aujourd’hui pour éviter les urgences demain
La première des solutions, et première recommandation, c’est, bien sûr, la prévention, ou, autrement dit, de ne pas attendre le jour où on a besoin d’emprunter de l’argent à son banquier pour effectuer une visite médicale !
Le bilan de santé général, idéalement, c’est tous les ans, même s’il n’est pas obligatoire pour les dirigeants. Bilan sanguin, suivi du cœur et des marqueurs de stress, tout cela est utile, sans oublier les contrôles spécifiques à certains métiers.
La prévention passe aussi par une bonne hygiène de vie. Cela relève de l’équilibrisme pour beaucoup de chefs d’entreprise, mais une fois qu’on a pris le pli, on se demande pourquoi on ne s’y est pas mis plus tôt !
Et pour finir, le stress : Il est sur toutes les lèvres, et les dirigeants y sont confrontés, au moins autant que leurs salariés.
Anticipez pour réduire votre stress
Nous connaissons aujourd’hui les répercussions physiologiques et nous savons que les pratiques de récupération comme la méditation, la respiration ou encore le yoga, réduisent efficacement l’anxiété.
Attention au cercle vicieux : la crainte de tomber malade et de ne plus pouvoir assumer ses responsabilités est une des principales sources de stress identifiée chez les dirigeants.
Un bon moyen de se l’épargner est de prévoir comment gérer au mieux cette éventualité. Faire en sorte que l’entreprise puisse avoir la capacité financière d’absorber une maladie grave du dirigeant, de confier les commandes, si nécessaire, à un remplaçant qui sera formé de sécuriser ses financements bancaires ou encore de verser au patron un complément de revenu peut alléger le poids de ce stress.
Parce qu’anticiper rassure, de nombreuses solutions existent.
Pratiquez une activité physique régulière
Effectuez au moins 150 minutes d’activité physique modérée par semaine (marche rapide, vélo, natation) et du renforcement musculaire deux fois par semaine.
C’est aussi une bonne gestion du sommeil (des routines, des horaires réguliers et un accompagnement, si nécessaire, en cas de troubles chroniques). On vise sept à huit heures de sommeil de qualité, et pour cela on évite les écrans avant d’aller se coucher.
Déconnecter, justement, c’est indispensable ! Alors, on instaure
des moments off, sans mails ni notifications, et surtout on trouve
le temps de décompresser en famille ou entre amis, en préservant
sa vie personnelle.
La nutrition joue également un rôle dans la santé du dirigeant.
Souvent en déplacement, contraint à des repas d’affaires et des horaires extensibles, le boss se nourrit mal. Pourtant, les recommandations sont claires, il faut une alimentation équilibrée : limiter les sucres rapides, privilégier les protéines, les fibres et le bon gras et prendre trois repas par jour. Le chef d’entreprise est un marathonien, et a tout à gagner à prendre son alimentation au sérieux.
Pour le patron, comme pour ses salariés, un bureau et un siège adaptés ne sont pas un luxe.
Rappelons également aux sédentaires que notre organisme n’est pas fait pour rester assis toute la journée. Il est donc salutaire de s’offrir des pauses régulières, debout, en mouvement, pour faire circuler les énergies.
Pratiquez une activité physique régulière
Effectuez au moins 150 minutes d’activité physique modérée par semaine (marche rapide, vélo, natation) et du renforcement musculaire deux fois par semaine.
C’est aussi une bonne gestion du sommeil (des routines, des horaires réguliers et un accompagnement, si nécessaire, en cas de troubles chroniques). On vise sept à huit heures de sommeil de qualité, et pour cela on évite les écrans avant d’aller se coucher.
Déconnecter, justement, c’est indispensable ! Alors, on instaure
des moments off, sans mails ni notifications, et surtout on trouve
le temps de décompresser en famille ou entre amis, en préservant
sa vie personnelle.
La nutrition joue également un rôle dans la santé du dirigeant.
Souvent en déplacement, contraint à des repas d’affaires et des horaires extensibles, le boss se nourrit mal. Pourtant, les recommandations sont claires, il faut une alimentation équilibrée : limiter les sucres rapides, privilégier les protéines, les fibres et le bon gras et prendre trois repas par jour. Le chef d’entreprise est un marathonien, et a tout à gagner à prendre son alimentation au sérieux.
Pour le patron, comme pour ses salariés, un bureau et un siège adaptés ne sont pas un luxe.
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*Source étude Bpifrance Le Lab, juin 2025.