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L’Échelle Européenne est le premier réseau français de conception, fabrication et commercialisation de solutions pour travailler en hauteur en toute sécurité. Partenaire clé des grands acteurs de l’industrie, du bâtiment et de la logistique, cette franchise compte aujourd’hui 54 points de vente à travers le monde et ambitionne de poursuivre son développement. Rencontre avec sa présidente, Florence Potier.
Pouvez-vous retracer les grandes étapes de l’histoire de l’Échelle Européenne ?
Florence Potier : « À l’origine, l’Échelle Européenne a été créée en tant que société en 1981 par Georges Morales afin de répondre aux besoins des acteurs du bâtiment et de l’industrie de garantir la sécurité de la circulation et du travail en hauteur.
À partir de 1990, le concept est déployé en franchise. À compter de l’an 2000, l’Échelle Européenne ouvre des magasins au-delà des frontières françaises, d’abord en Belgique puis en Espagne (2002), au Canada (2014), en Suisse (2021). Nous comptons poursuivre encore notre développement à l’international. »
L’innovation et le management de la qualité sont depuis toujours des marqueurs forts de l’enseigne et constituent bien sûr un facteur majeur de sa réputation et de son succès.
Quel parcours vous a conduit à prendre la présidence en 2022 ?
Florence Potier : « J’exerce depuis plus de dix-sept ans dans l’entreprise, où j’ai occupé les postes de directrice administrative et financière puis de directrice opérationnelle. Quand les fondateurs ont exprimé leur intention de prendre leur retraite, ils ont souhaité organiser une transmission qui garantirait la continuité de l’activité, la préservation des fondamentaux et la robustesse sur le temps long. Aussi, ils ont fait entrer des fonds en même temps.
Clément Dubourg, un ancien franchisé devenu directeur commercial de l’enseigne et moi-même avons décidé de nous positionner en binôme. »
Quels messages voudriez-vous faire passer aux femmes qui auraient envie de devenir dirigeantes mais n’osent pas franchir le pas ?
Florence Potier : « Il n’y a rien de masculin ni de féminin dans le fait d’être chef d’entreprise. Ce n’est pas si compliqué d’être dirigeante. Certes, c’est un investissement personnel important, mais si l’on en fait une aventure collective et que l’on s’appuie sur une organisation solide et des personnes de confiance, c’est à la portée des femmes comme des hommes qui en ont l’ambition.
À ce titre, la franchise est une solution intéressante, car cela permet aux femmes et aux hommes qui veulent entreprendre de développer leur activité dans un cadre confortable, avec un concept éprouvé et toute une palette de services, dont la formation continue à l’expertise de nos métiers. J’ajoute, concernant l’Échelle Européenne, qu’en tant que franchise B2B, nous pratiquons des horaires de bureau, du lundi au vendredi. C’est un atout pour celles et ceux qui veulent entreprendre tout en conciliant vie professionnelle et vie privée.
Les femmes sont bienvenues dans notre réseau. Bien entendu, nous aimerions avoir davantage de femmes franchisées et plus généralement voir davantage de mixité dans notre secteur d’activité. »
(c) Crédits photos : Getty images et Florence Pottier, Droits réservés