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On estime que 40 % des entreprises créées ne dépassent pas la cinquième année d’activité (Insee). Si les causes de défaillance des entreprises peuvent être de divers ordres, on sait toutefois qu’il existe des facteurs de renforcement de la robustesse et de la résilience des entreprises.
Entrepreneurs, empochez les clés de la pérennité pour ouvrir les portes d’un avenir durable.
L’importance de la relation bancaire
Le banquier est le premier partenaire du financement d’une entreprise, de sa résilience et de sa pérennité. La banque est au rendez-vous des principales étapes du développement : au lancement, dans les phases de croissance et de transition… Mais aussi pour faire face aux aléas et coups durs.
Les maîtres mots d’une relation bancaire utile à la pérennité de l’entreprise sont la confiance et l’anticipation.
Il ne faut jamais hésiter à évoquer ses questionnements et ses difficultés avec le banquier : trésorerie, retards d’encaissement, perte d’efficience de l’appareil productif, gestion des stocks, problématiques de recrutement ou de fidélisation des salariés… Et plus on en parle tôt à son banquier, plus on met de chances de son côté pour trouver une solution adaptée.
Une stratégie efficace de trésorerie
Dans 50 % des cas de défaillance d’une entreprise, des problèmes de trésorerie sont intervenus. C’est dire si cette dimension de la gestion d’entreprise est cruciale pour la pérennité.
La trésorerie comporte trois dimensions : les délais d’encaissement, le rythme des paiements (encours de crédit bancaire, cotisations et impôts, fournisseurs…) et le placement des excédents.
La banque peut accompagner l’entreprise sur ces différentes problématiques. Elle peut par exemple proposer des solutions de gestion du poste client telle que l’affacturage, la cession Dailly ou l’escompte commercial afin d’éviter que les délais d’encaissement n’amputent la trésorerie et la capacité d’investissement. Elle peut aussi accorder des facilités de caisse.
Le banquier conseille également l’entrepreneur sur sa stratégie de placement des excédents de trésorerie à court, moyen et long terme. En plaçant ses excédents, l’entreprise fait fructifier son épargne, se donne les moyens de financer ses projets de développement et de transition et dispose de fonds en cas d’imprévus.
Le pilotage du patrimoine du dirigeant
Pour qu’une entreprise dure, il faut aussi que son dirigeant gagne ! Il en va naturellement de la capacité de l’entreprise à lui assurer des revenus en marche courante mais aussi de l’augmentation de la valeur de l’entreprise, essentielle pour garantir de bonnes conditions de cession-transmission.
La question du patrimoine du dirigeant, c’est aussi celle de la préparation de sa retraite et des placements qu’il effectue tout au long de la vie pour développer ses propres actifs.
Là aussi, le banquier est un acteur de référence qui sait conseiller et orienter le dirigeant pour l’aider à faire les choix les plus éclairés.
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