Accompagner les enjeux de cession-transmission des viticulteurs avec Vitibanque

La récente enquête agriculture-viticulture menée par BPCE L’Observatoire révèle que les viticulteurs ont pour première préoccupation la préparation de leur retraite et de la cession-transmission de leur exploitation.

Éclairages par Perrine Lantoine, responsable de projets Stratégies au sein de la direction Études & Prospectives de BPCE et Rudy Boulanger,
responsable du pôle Vitibanque de Caisse d’Epargne

Un enjeu pour les viticulteurs de toutes générations

Sans surprise, la retraite et la cession-transmission préoccupent
avant tout les viticulteurs les plus avancés en âge
: pour 72 % des
55 ans et plus, c’est un sujet de préoccupation et, dans cette
tranche d’âge, 35 % en font une priorité. Mais ces enjeux
intéressent fortement les viticulteurs assez tôt dans leur
parcours
: entre 40 et 54 ans, ils sont 48 % à déclarer vouloir se
préparer à cet enjeu.

Rudy Boulanger explique cette conscience aiguë des enjeux de
cession-transmission par les spécificités d’une activité adossée
à un patrimoine foncier et immobilier dont la valeur peut être
très élevée.

Rudy Boulanger

Responsable national du pôle Vitibanque de Caisse d’Epargne

Les défis de la transmission familiale

« La transmission familiale est une tradition sur de nombreux
domaines », explique Perrine Lantoine, « mais ce n’est pas toujours
si simple
, car d’une part il faut avoir au moins un enfant prêt à
reprendre l’exploitation
, et ce n’est plus forcément une évidence
pour les nouvelles générations de fils et filles de viticulteur ; d’autre
part, la valeur du foncier peut placer l’enfant qui reprend en
difficulté vis-à-vis de ses frères et soeurs
, notamment s’il doit
racheter leurs parts. »

Rudy Boulanger

Responsable national du pôle Vitibanque de Caisse d’Epargne

La reprise, moteur de modernisation

La perspective d’une reprise est en soi un moteur de
modernisation : « Quand la reprise est assurée et préparée, on
reste dans une logique d’investissements. Trouver un repreneur
permet de garder un horizon »
, explique Perrine Lantoine. Ce que
confirme Rudy Boulanger : « S’il s’agit d’un repreneur familial issu
de la génération suivante, on constate que les jeunes apportent
des idées nouvelles pour moderniser le bâti, les équipements,
les conditions de production
. On sait aussi qu’ils sont
particulièrement moteurs dans la diversification des revenus
de l’exploitation. »

Un effet similaire s’observe avec la féminisation de la viticulture :
« Aujourd’hui, les femmes représentent 28 % des viticulteurs…
Et 30 % des clients de la banque en viticulture.
Clairement, la
féminisation s’accompagne de transformations. »

Vitibanque : des experts aux côtés des exploitants pour les enjeux de cession-transmission

Les chargés d’affaires Vitibanque sont des interlocuteurs privilégiés
pour les exploitants qui veulent préparer la cession-transmission et
anticiper leur retraite.
« Un chargé d’affaires Vitibanque, c’est un
acteur de terrain, qui connaît de près le terroir et l’exploitation, qui
est proche du viticulteur et de sa famille. Il vient avec une approche
globale
, intégrant les problématiques professionnelles et privées,
celles qui touchent à la vie économique du domaine et à ses
transformations (transition environnementale, diversification…),
mais aussi au patrimoine et aux placements du viticulteur », rappelle
Rudy Boulanger. Le chargé d’affaires Vitibanque est ainsi aux côtés
de l’exploitant dans tous les moments importants de la vie de
l’exploitation
.

Observatoire 2023 de la viticulture

Focus sur le profil et les enjeux des viticulteurs français

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